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Castillo de Anet
Château d'Anet
Logo monument historique Clasificado MH (1993)[1]

Vista del ala sur del castillo
Ubicación
País Bandera de Francia Francia
División Bandera de Centro-Valle de Loira Centro-Valle de Loira
Subdivisión Departamento de Eure-et-Loir
Municipio Anet
Coordenadas 48°51′29″N 1°26′19″E / 48.858055555556, 1.4386111111111
Características
Tipo Castillo residencial
Arquitecto Philibert Delorme
Estilo arquitectura renacentista francesa
Historia
Fundador Diane de Poitiers
Construcción Siglo XVI
Información general
Uso Abierto al público
Propietario Jean de Yturbe
Mapa de localización
Castillo de Anet ubicada en Centro-Valle de Loira
Castillo de Anet
Castillo de Anet
Sitio web oficial

El castillo de Anet (en francés: château d'Anet) es un castillo renacentista, que se encuentra en la homónima comuna de Anet en el departamento de Eure-et-Loir, que fue encargado por Enrique II para Diana de Poitiers.

Historia

Plantilla:Vers

l'acquéreur de 1804 ayant fait sauter à la mine le corps central et l'aile droite en équerre. 

El castillo fue construido bajo la dirección del arquitecto Philibert Delorme, del escultor Jean Goujon y del pintor Jean Cousin.

Solo se conserva hoy de su planta en cuadrilátero (llamada en "U" o "en herradura") el ala izquierda, modificada a mitad del siglo XVII, el receptor de 1804 que explotó la mina el cuerpo central y el ala derecha en équerre.[2]​.

Uno de los dibujos de Primatice anotado a annet (Phèdre et Hippolyte, Museo del Louvre), es sin duda un proyecto para los vitrales encargados al maestro vidriero Nicolas Beaurain en 1548. En Anet, el estilo de Primaticcio era también visible en los ángeles portadores de los instrumentos de la Pasión esculpidos en bajorrelieves en la bóveda de la capilla (in situ) y en el grupo de la Diana cazadora que coronaba una de las fuentes (ahora en el Louvre).[3]

En julio de 1547, poco después de la muerte de François I, el pintor Léonard Limosin entregado a Saint-Germain-en-Laye doce apóstoles pintados al esmalte a partir de cartones en color de Michel Rochetel, ellos mismos hechos a partir de los dibujos de Primatice(Étude de drapé pour saint Paul y Étude de drapé pour saint Thomas). De acuerdo con los deseos de François I, cuyas placas esmaltadas llevan la «F», los doce debe tener doce pilastras que adornan la capilla de Saint-Saturnin del château de Fontainebleau.[4]​ El nuevo rey, Enrique II, decidió lo contrario y los había colocado, desde 1552, en la madera de la capilla del castillo de Anet. Ahora se encuentran en el Museo de Bellas Artes de Chartres. Su cartón sirve para la construcción de una segunda serie, no la figura de François Plantilla: yo, sino la de Enrique II (Louvre) 2.

Algunos fragmentos de arquitectura y escultura fueron adquiridos a los demoledores por Alexandre Lenoir que los hizo transportar a París para nutrir el Museo de los monumentos franceses (entonces ubicado en la actual École des Beaux-Arts); en particular, el pórtico del edificio principal central, decorado con una figura de Diana, de un ciervo y de cuatro perros, ocupó el patio de Bellas Artes antes de ser trasladado de nuevo a Anet. Este ornamento era originalmente un autómata: el ciervo sacudía la cabeza y los perros mueven la pata trasera izquierda para marcar las horas; el grupo actual es una réplica, el original de haber sido fundido a Révolution.

La capilla fue restaurada 1844-1851 por el arquitecto Auguste Caristie y se vistió su fachada con un pórtico, anteriormente enmascarada por una ala (galería).

En juillet 1547, peu après la mort de François Plantilla:Ier, le peintre Léonard Limosin livra à Saint-Germain-en-Laye douze apôtres peints en émail d’après des cartons en couleur de Michel Rochetel, eux-mêmes faits d’après des dessins de Primatice (Étude de drapé pour saint Paul et Étude de drapé pour saint Thomas). Selon les souhaits de François Plantilla:Ier, dont les plaques émaillées portent le « F », ces douze apôtres auraient dû orner les douze pilastres de la chapelle Saint-Saturnin du château de Fontainebleau[5]​. Le nouveau roi, Henri II, en décida autrement et les fit placer, dès 1552, dans des boiseries de la chapelle du château d'Anet. Ils sont aujourd’hui au Musée des beaux-arts de Chartres. Leurs cartons servirent pour la réalisation d’une seconde série, non plus au chiffre de François Plantilla:Ier mais à celui de Henri II (musée du Louvre)[3]​.

Quelques fragments d'architecture et de sculpture furent achetés aux démolisseurs par Alexandre Lenoir, qui les fit transporter à Paris pour nourrir le Musée des monuments français (alors situé dans l'actuelle Ecole des Beaux-Arts) ; en particulier, le portique du corps de logis central, orné d'une figure de Diane, d'un cerf et de quatre chiens, a occupé la cour des Beaux-Arts avant d'être déplacé à nouveau vers Anet.

Cet ornement était à l'origine un automate : le cerf remuait la tête et les chiens remuaient la patte arrière gauche pour marquer les heures ; le groupe actuel est une reproduction, l'original ayant été fondu à la Révolution.

La era de los Príncipes

 mais par la création du grand canal il accrut les nappes d'eau.

Au château il fit retirer les meneaux des fenêtres et les cordons de pierre passant d'une à l'autre, transformer les fenêtres du rez-de-chaussée en portes-fenêtres, plaquer une façade en bossage et orner l'étage d'une ordonnance de huit pilastres à chapiteaux ioniques au centre décoré d'un trophée guerrier de style Louis XIV, enfin fit exhausser de moitié les combles afin d'y gagner des appartements (état actuel).

En 1615 la propiedad pasó de los Breze a los Mercœur, y en 1609 Françoise de Mercœur la aportó por matrimonio a César de Vendôme.

Este realizó muchos cambios, juzgados desastrosos: desplazamiento de la fuente de Diana, sustitución y destrucción de los vitrales en "grisalla", transformación del parque y demolición de algunas de sus dependencias y de la galería que rodeaba los jardines (modificados)... sino por la creación del gran canal que aumentó las cuerpos de agua. Hizo construir los dos pabellones y el hemiciclo entre el ala izquierda y la capilla funeraria.

En el castillo, hizo retirar los meneaux de las ventanas y los cordones de piedra que pasaban de una a otra, la transformación de las ventanas de la planta baja en puertas-ventanas, las puertas del patio , siembra de una proyección frontal y decorar el suelo de una ordenar ocho pilastras con capiteles jónicos en el centro decorado con un Luis XIV guerrero del estilo del trofeo finalmente hizo la mitad exhausser el ático con el fin de obtener apartamentos (estado actual) .

También debe el vestíbulo, el elemento más puro y auténtica con su suelo de baldosas en blanco y negro rampa y la escalera "de diseño muy atrevido" (Roux) de hierro forjado a su figura, hecha por un constructor local en términos del inspector de edificios del rey Desgaux. Y se colocó una serie de ocho bustos de emperadores romanos, que uno pierde la pista después de la venta en enero de 1798.

On lui doit aussi le vestibule, élément le plus pur et authentique par son sol carrelé en noir et blanc et son escalier "très hardi de conception" (Roux) à rampe en fer forgé à son chiffre, réalisé par un maçon local sur les plans de l'inspecteur des Bâtiments du Roi Desgaux. Y fut placée une série de huit bustes d'empereurs romains dont on perd la trace après la vente de janvier 1798.

La gravure de Rigaud montre quatorze autres bustes ornant le mur extérieur du bâtiment principal face au jardin. Roux (1913) en signale huit en marbre blanc ou rose à la Bibliothèque de Chartres et à la Société archéologique d'Eure-et-Loir, et quatre peut-être de même origine dans une collection Champagne, à Dreux.

C'est dans ce cadre somptueux qu'en 1688 le Dauphin fut reçu avec grand luxe.

En 1723, la huitième fille de la princesse de Condé, dont le patrimoine était resté indivis pendant neuf ans, Louise-Bénédicte de Bourbon, duchesse du Maine, hérite d'Anet ; le règlement de cette succession fit vendre la bibliothèque, dont 171 manuscrits sur vélin ayant appartenu à Diane de Poitiers qui y étaient conservés depuis sa mort.

Le domaine et le comté de Dreux passèrent ensuite successivement à ses deux fils, l'un et l'autre célibataires morts sans postérité en 1755 et en 1775, le prince de Dombes et le comte d'Eu, qui avait vendu deux ans avant sa mort à Louis XV - qui visita le château en juin 1749 - une grande partie de ses biens pour l'énorme somme de 12 millions, mais comme cette transaction - coûteuse pour les finances royales - n'avait pas encore été honorée par le roi avant sa mort (1774), elle fut annulée par Louis XVI, en accord avec leur héritier, le duc de Penthièvre, devenu par ces héritages le second propriétaire foncier du royaume, qui rentra ainsi en possession d'Anet.

Vestigios del «mobiliario Penthièvre»

Le 12/12/2012 deux de ses éléments figurèrent dans une vente publique parisienne à Drouot-Richelieu :

  • un bureau plat par Pierre Fléchy, en bois laqué et vernis européen (reprod. coul. p. 154 du n°42 de "La Gazette de l'Hôtel Drouot" - 30/11/2012);
  • une commode par Léonard Boudin en placage de bois noirci et vernis européen, à portes découvrant tiroirs et coffre (reprod. coul. p. 56 du n°43 de "La Gazette de l'Hôtel Drouot") dont le dos est marqué au fer d'une ancre marine (attribut symbolique du Grand Amiral de France) entourée des lettres A et T (pour Anet).

Une vue cavalière du château, miniature aquarellée de Louis-Nicolas van Blarenberghe (1716-1794), figure dans une vente mobilière à Paris du 5 avril 2017 (reprod. coul. ds "La Gazette Drouot" n°11 - 17/03/2017, p 107)


La era de las destrucciones

En 1793, le duc mourut dans son lit dans son château de Bizy, ayant légué son domaine à sa fille, Louise Marie Adélaide, duchesse d'Orléans, qui y vivait avec lui ; cinq semaines après, ses biens furent confisqués au profit de la Nation. Le château, placé sous séquestre, ne fut pas entretenu pendant quatre ans. En 1794 le mobilier fut mis en vente à l'encan.

Le 10 juin 1795, Moulins, commissaire de la Sûreté Générale, vint faire procéder à la destruction du tombeau de Diane de Poitiers; le caveau fut ouvert, le cercueil forcé, et ses restes transportés au cimetière du bourg, dont ils ont été depuis exhumés pour être replacés dans le caveau sépulcral lors d'une cérémonie publique.

En 1793, el duque murió en su cama en su castillo de Bizy, habiendo legado su dominio a su hija, Luisa María Adelaida, duquesa de Orleans, que vivió allí con él; cinco semanas después, sus bienes fueron confiscados en beneficio de la Nación. El castillo, intervenidao, no se mantuvo durante cuatro años. En 1794 el mobiliario fue puesto en venta en el encan.

El 10 de junio de 1795, Moulins, comisario de la Seguridad General, llegó a llevar a cabo la destrucción de la tumba de Diana de Poitiers; la bóveda se abrió, el ataúd forzada y sus restos transportado al cementerio de la ciudad, que desde entonces han sido exhumados para ser colocado en la bóveda sepulcral durante una ceremonia pública.

El 1.º de febrero de 1798, el dominio fue vendido en cuatro lotes; el que incluía el castillo y los jardines se compró por tres millones doscientos mil francos por los señores Driancourt y Baudoin... que lo transmitió inmediatamente a los banqueros Ramsden y Herigoyen; ellos lo despojaron de sus elementos exteriores e interiores para venderlos.

En 1804 Demonti hijo, nuevo propietario, continuó la carnicería talando los árboles del parque y haciendo demoler con explosivos los dos tercios de la residencia (cuerpo central y el ala derecha), lo que terminó por indisponer a la población; en 1811 la caída mortal de un trabajador que empezó a pelar el techo de la izquierda provocó una revuelta que lo obligó a abandonar su negocio y liquidación de enfuir.

En 1820 el castillo vacío y abandonado fue adquirido por la duquesa viuda de Orleans, que murió nueve meses más tarde, y su hijo, el futuro rey Luis Felipe, dada la magnitud de las reparaciones a realizar, lo vende a Louis Passy, ​​receiver general (¿de Finanzas?) del departamento de Eure; que no vive y sólo cercó con un muro pared permaneció abierta extremo de la izquierda, en lo que ahora se reduce el castillo

Le Plantilla:1er février 1798 le domaine fut vendu en quatre lotsla  ; celui comprenant château et jardins fut acquis trois millions deux cent mille francs par les sieurs Driancourt et Baudoin… qui le transmirent aussitôt aux banquiers Ramsden et Herigoyen ; ceux-ci le dépouilleront de ses éléments extérieurs et intérieurs pour les vendre.

En 1804 Demonti fils, nouveau détenteur, continua le dépeçage en abattant les arbres du parc et faisant démolir à l'explosif les deux tiers de la demeure (corps central et aile droite), ce qui finit par indisposer la population ; en 1811 la chute mortelle d'un ouvrier qui commençait à dégarnir la toiture de l'aile gauche déclencha une émeute qui le contraignit à abandonner son entreprise de liquidation et à s'enfuir.

En 1820 le château vide et abandonné est racheté par la duchesse douairière d'Orléans, qui meurt neuf mois plus tard, et son fils, le futur roi Louis-Philippe, devant l'ampleur des réparations à entreprendre, le vend à Louis Passy, receveur général (des Finances ?) du département de l'Eure ; celui-ci ne l'habite pas et ne fait que clore par un mur l'extrémité restée béante de l'aile gauche, en quoi se réduit désormais le château

La era de los Restauradores

En 1840, toujours en mauvais état, il est acquis par le comte Adolphe de Riquet de Caraman, qui y entreprit la première campagne de restauration : réparation et aménagement de l'intérieur des pavillons et la moitié Sud de l'aile - le vestibule servait de charetterie et le reste des bâtiments côté jardin n'avait plus de toiture - restaurer le portail d'entrée, restituer le groupe des animaux en bronze et ajouter un péristyle à la chapelle, qui reçoit alors des autels.

En 1860, à la suite des revers de fortune des Caraman, Anet est racheté par l'agent de change parisien Ferdinand Moreau, qui mènera à partir de 1863 une seconde campagne de grands travaux : rétablissement des toitures, reconstruction de l'aile Nord par l'architecte Bourgeois, qui copia l'autre extrémité restée quasi-intacte, puis reconstitution de la décoration et de l'ameublement avec l'aide du peintre Faivre-Duffer, qui y retrouva les Apôtres, quatre grandes tapisseries, des fragments d'anciens vitraux (reposés dans la fenêtre de la bibliothèque), des meubles, panneaux et débris peints.

En 1913 Roux signale le pavement d'un Referencia vacía (ayuda) . provenant du château d'Ecouen, ainsi que les panneaux des battants de portes partiellement dorés de la salle des Gardes (Plantilla:1er), et des petits pavés au chiffre de Diane de Poitiers qui sont d'origine.

Moreau reconstituera la propriété par l'achat du « Grand Parc » en 1868. En 1879 le cryptoportique (soubassement du corps central) enfoui et considéré jusque-là comme détruit, fut redécouvert.

En 1914-1918 sa veuve, sa fille, héritière du château en 1884, et son gendre le comte Guy de Leusse, y installèrent, comme d'autres châtelains français, un hôpital auxiliaire de La Croix-Rouge ; Plantilla:Mme de Leusse le lèguera en 1944 à sa petite-fille, Plantilla:Mme Charles de Yturbe ; depuis 1998, Jean et Alexandra de Yturbe en sont propriétaires.

La chapelle funéraire, la cour intérieure, la chapelle qui s'y trouve et une partie du château se visitent[6]​.

La chapelle intérieure est une rotonde décorée de pilastres de marbre blanc et des statues des apôtres, et couverte par une coupole à caissons, dont la structure originale composée de cercles entrelacés de caissons donne l'illusion d'une coupole haute d'une dizaine de mètres, et mesurant en réalité 3,5 mètres de haut. Ce trompe-l'œil a été conçu par l'architecte Philibert Delorme.

Propriété privée et habitée, le château est ouvert au public ; ses pièces sont meublées par certains meubles d'époque, et des achats plus récents.

Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 25 de mars de 1993 (Expresión errónea: palabra «no» desconocida años)[1]​.

Filmografía

Las primeras escenas de la película Opération Tonnerre fue filmada en el castillo de Anet en 1965.[7]

Un "Secret d'histoire" (emisión presentada por Stephane Bern) fue dedicada a Diana de Poitiers en 2010, siendo el lugar principal el castillo de Anet.

Varias escenas de la película "María, reina de Escocia" (publicada en 2013) fueron filmadas en el interior del castillo .

El pórtico de entrada parece haber inspirado el del castillo de la película de Tim Burton, Eduardo manostijeras, cuya parte superior representa un ciervo rodeado por dos perros de caza.

Bibliografía

  • Nouveau Larousse illustré, 1898-1907.
  • Alphonse Roux "Le château d'Anet" (Paris, Henri Laurens, 1913, ill. de 41 gravures et un plan - arch. pers.);
  • Daniel Leloup, Le Château d'Anet, Belin, 2001, 159 p.

Galería de imágenes

Notas

  1. a b Château d'Anet en la base Mérimée del Ministerio de Cultura de Francia.
  2. Louis Réau, Histoire du vandalisme
  3. a b Dossier de presse de l'exposition L’Italie à la cour de France - Primatice, maître de Fontainebleau, 1504 -1570, Paris, musée du Louvre, 25 septembre 2004 - 3 janvier 2005 (les descriptions et compléments en sont repris quasi intégralement)
  4. Thomas Clouet, « Fontainebleau de 1541 à 1547. Pour une relecture des Comptes des Bâtiments du roi », dans Bulletin monumental, 2012, p. 218-219 (résumé).
  5. Thomas Clouet, « Fontainebleau de 1541 à 1547. Pour une relecture des Comptes des Bâtiments du roi », dans Bulletin monumental, 2012, p. 218-219 (résumé).
  6. À titre d'information, le Plantilla:1er août 2011, le château est ouvert tous les jours de 14 h à 18 h sauf le mardi et la visite coûte 8 €
  7. Meddeh Belkanichi, "En 1965, James Bond s'aventurait au château d'Anet", sur L'Echo Républicain, mercredi 24 octobre 2012.

Referencias

Véase también

Enlaces externos